Coucou mes petites étoiles ! Aujourd’hui nous nous retrouvons pour l’interview d’Angel Arekin, auteure de nombreux roman à succès. Elle a gentiment acceptée de ce prêter au jeu des questions réponses !
Bonjour Angel, merci d’avoir accepté de répondre à mes questions, pourrais-tu te présenter ?
Bonjour, merci pour l’invitation. En quelques mots, je suis auteure de fantasy et de romance depuis 5 ans maintenant, même si j’écris depuis toujours, il me semble parfois. J’ai 39 ans, je suis fan de mangas, de littératures en tout genre, avec une préférence pour les thrillers. J’adore les sushis et les rochers suchard. Je suis fan de musiques, j’en écoute en permanence, comme une drogue impossible à arrêter. En somme, je suis tout ce qu’il y a de plus ou moins normale.
Ton dernier roman « tes notes pourpres » est un véritable succès, depuis sa sortie nous le voyons partout sur les réseaux, j’ai presque honte de ne pas l’avoir encore lu. Pourrais-tu nous en parler un peu plus ?
Tes Notes Pourpres content l’histoire de Souline, virtuose du violon qui retrouve après 15 ans son premier amour, Evi. Ils se sont connus dans l’enfer d’une école catholique, où la maltraitance régnait en maître sous couvert de discipline. Ils ont tout connu ensemble, se sont passionnément aimés, avec la force de leurs 15 ans, jusqu’au jour où Evi supplie Souline de quitter cet endroit. Ils ne se reverront que 15 ans plus tard. Mais bien des choses ont changé.
J’aborde ici plusieurs thèmes, dont celui de la maltraitance envers les enfants, la musique, la vengeance, la façon dont chacun gère un traumatisme, la passion, et bien sûr, l’amour.
Tu es l’auteure de beaucoup de romance qu’on peut presque toute qualifier de « Dark romance », laquelle t’a demandé le plus de travailler . Laquelle, préfères-tu ?
Je ne crois pas que toutes mes romances soient des dark, si on prend en comparaison les codes qui la composent. Si toutefois, on part du principe qu’elles sont seulement plus sombres qu’une romance plus classique, en effet.
La dark qui m’a demandé le plus de travail, c’est Sans Âme, un travail d’immersion, avec des pensées assez cyniques à entretenir en permanence, ce qui m’a bouffé de l’énergie sans même que je m’en aperçoive, avant de terminer la rédaction du roman.
Celui que je préfère, mon cœur balance entre The Missing Obsession et Le cri du Silence.
Être auteure, pour toi, c’est un métier ou une passion ?
Une passion avant tout, écrire pour moi, c’est respirer pour d’autres. Mais avec le temps, la passion se marie avec le métier. C’est le jeu quand on travaille en collaboration avec une maison d’édition, on a forcément un côté professionnalisant. Une partie plus commerciale qui s’impose de fait. L’enjeu est celle-ci ne prime pas sur la création.
Quand as-tu commencé à écrire, pourquoi ?
Trop petite pour m’en souvenir vraiment. Il me semble l’avoir toujours plus ou moins fait. Pourquoi ? Parce que j’avais sûrement des choses à dire.
En tant qu’auteure, j’ai un « manuscrit de la honte », le premier livre que j’ai écrit dans sa totalité mais que je trouve tellement médiocre que je le montrerai jamais à personne. Es-ce ton cas ? Si oui, l’as-tu gardé ?
Tous les auteurs, je pense, en ont un dans leur tiroir, donc oui, je l’ai gardé, ça me rappelle mon évolution et ma jeunesse aussi 😉
Quel genre de roman lisais-tu durant ton enfance ? Et maintenant ?
De tout, ça allait du roman historique à la littérature générale.
As-tu déjà des idées pour un futur roman ?
Constamment, et pas que pour un seul !
Un conseil pour quelqu’un qui souhaite se lancer dans l’écriture ?
S’amuser, s’écouter, se lancer et travailler
Un mot pour tes lecteurs ?
A vous lecteurs, j’espère que vous continuerez de vous amuser en lisant mes romans, que vous voyagerez, vibrerez au rythme des mots et que lorsque vous refermerez les pages, vous serez encore sur un petit nuage.
Book Dreamer 